lundi 13 juillet 2015

Powerbank nous a sauvé !

Nouvelles offres, nouveaux besoins. Ou nouveaux besoins, nouvelles offres, c'est selon. La technologie évolue et nous impose de nouveaux équipements. Les sévices aussi évoluent. De nos jours il n'est plus une surprise d'entendre dans les maquis et gargottes de la place un clients demander au serveur un chargeur pour le dépanner : le téléphone est à plat, batterie à moins de 10% chargée ou téléphone complètement éteint. A cause de la connexion internet ou de la faiblesse de stockage d'énergie des batteries de certains smartphones, on se trouve contraint dans la journée ou en fin de soirée de recharger son téléphone. 
Certains ont trouvé la solution à travers les "powerbank". Ces batteries mobiles qui vous sauvent en vous permettant de rechercher votre téléphone quand vous êtes à cours d'énergie. Dans un maquis vous verrez beaucoup de clients assis avec beaucoup de câbles devant eux. Le téléphone branché à un "powebank". Y a toujours des coco de "powerbank" que vous allez dépanner avec un câble supplémentaire ou en lui passant le votre. Merci pour ceux que vous aidez. Sachez choisir votre "powerbank". Trouvez celui qui a la meilleure capacité pour tenir la batterie de votre téléphone. Y en a de 5.000 mhA, 8.000 mhA, jusqu'à 30.000 mhA. Avec un ou deux ports USB. C'est selon vos besoins et votre poche. La chinoiserie est là aussi donc cherchez des garanties sur le matériel électronique que vous achetez. 
Une fois avec votre "powerbank", vous n'avez plus peur d'utiliser votre téléphone à cause de la batterie. En ce moment vous vous rappelez que vous avez oublié un programme de match. Vous fouillez votre téléphone et cliquez sur l'application "MyCanal". Vous recherchez la chaîne en question et voilà le match en directe sur votre téléphone. Vous avez une connexion internet bien évidemment. 
Les comportements ont bien évolués ! Fini les temps où l'ont quittait une occupation pour rejoindre la maison pour suivre un match ou un autre  programme le visage un peu serré (50% content, 50% mécontent).

mercredi 8 juillet 2015

Burkina - SANA BOB Interprété par "Les Experts"

Saison pluvieuse, routes et caniveaux à Ouagadougou

Saison pluvieuse

La saison pluvieuse est là ! Avec tout ce qui va avec : paludisme, inondation, dégradation des routes, vidangeurs nocturnes, accidents etc. Améliorons nos cadre de vie, dormons sous des moustiquaires, curons les caniveaux à proximité de nos habitations. Les routes se dégradent parce qu'elles sont soit vieilles soit ont subi les effets de nos brûlures de pneus et autres lors des manifestations. Il y a assez de nids de poules donc sur nos routes. Chacun veut les éviter et ça cause des accidents. Ceux qui n'arrivent pas à les éviter tombent dedans à moto ! Ça crée assez de problèmes ! Prudence donc surtout en cas de pluie où chacun fait tout pour éviter les grands vents et d'être mouillé.

Accident sur la route de Zorgho

J'ai vu les images de cet accident, c'était horrible. Un mini bus transportant des hommes et chargé de barriques de carburant ! Face à ces nombreux événements malheureux il y a lieu de se pencher sur le problème du transport au Burkina Faso. Je me suis toujours demandé s'il y avait une suite, des enquêtes faites après les accidents (on en voit rarement les conclusions). Lorsqu'on bus quitte Ouagadougou pour se rendre à Zorgho il y a des postes de contrôles (police, gendarmerie, douanes, ONASER, etc.) que ce dernier traverse. En cas d'accident dû à une surcharge ou les cas de transport mixte (personnes et marchandises) pourquoi n'a t-on pas de retour sur d’éventuelles enquêtes mettant en cause un des poste n'ayant pas fait son travail en laissant continuer ces véhicules non en règle ? Que Dieu nous garde.

L'état de nos caniveaux

Sur Facebook il existe une page dénommée "Hygiène de nos villes en question - Burkina Faso" qui présente l'état de salubrité de certaines de nos villes, principalement Ouagadougou. J'y ai vu un poste relatif à l’état de certains caniveaux et parcelles non construites dans le quartier Ouaga 2000 à Ouagadougou. Il y a de quoi être inquiet pour l'image de ce quartier résidentiel de notre capitale. Au milieu de ce quartier se trouvent des caniveaux devenus des poubelles, ou simplement bouchés par l'ensablement et donc profitable pour des plantes qui y ont poussé. En ces périodes de vacances ne pourraient-on pas relancer le projet HIMO (Haute Intensité de main d'Oeuvre) pour les étudiants et élèves afin de curer les caniveaux et le nettoyage des espaces ?